Nos valeurs
festival éco-citoyen depuis 1992
Aux Charrues, le développement durable, ce n’est pas une tendance, c’est une conviction. Depuis toujours, nos actions reposent sur des valeurs qui nous tiennent à cœur : solidarité, prévention, inclusion et engagement local. Des principes qu’on défend concrètement, sur le terrain.
Un festival 100% ASSOCIATIF
Les Vieilles Charrues, c’est avant tout une aventure associative. Le festival est organisé par une asso indépendante, militante et engagée pour rendre la culture accessible à toutes et tous , et tout ça sans aucune subvention.
Plus de 130 associations, qu’elles soient culturelles, caritatives ou sportives, nous filent un sacré coup de main pendant l’événement.
Nous n’existerions pas sans eux/elles ! 💪
prévention et inclusion
Depuis 1998, le festival met en place des espaces d’information et des actions de prévention autour de nombreux sujets : consommation d’alcool, risques auditifs, VIH, IST, comportements toxiques, discriminations ou violences sexistes et sexuelles. Ici, on parle, on écoute, on sensibilise. Depuis toujours, les Charrues défendent la tolérance, l’inclusion et le respect. Quel que soit votre genre, votre corps, votre orientation sexuelle ou vos origines, la fête doit être belle et safe !
Handicap & accessibilité : la fête pour tou·tes, vraiment
Chaque année, nous accueillons près de 900 personnes en situation de handicap et leurs accompagnant·es, pour qu’elles puissent profiter des concerts comme tout le monde. Sur place, une équipe de 100 bénévoles, dont des pros du soin et de l’accompagnement social (infirmier·es, éducateur·ices…), est là pour les accueillir dans les meilleures conditions.
Ici, c’est pas plus cher parce que c’est bien
Rendre la culture accessible, c’est dans l’ADN des Vieilles Charrues. Le prix du billet journée est resté inchangé pendant 11 ans. Un choix assumé, pour que le plus grand nombre puisse en profiter. Et ce n’est pas tout : le camping (20 hectares quand même !) est entièrement gratuit, et de nombreux transports en commun sont gratuits ou proposés à tarifs préférentiels. Parce qu’un festival populaire, c’est un festival ouvert à toutes et tous.
Gérer mieux, consommer moins
Protéger l’environnement, c’est aussi savoir gérer nos ressources. Grâce aux toilettes sèches, on économise chaque année 500 m³ d’eau, et l’éclairage LED a permis de faire chuter notre consommation d’énergie. On avance aussi sur les alternatives : alimentation photovoltaïque, groupes électrogènes à hydrogène… Et pour aller plus loin, une étude énergétique complète a eu lieu l’an dernier, intégrée à notre bilan carbone de 2024.
80% de produits bretons
80 % des produits utilisés pendant le festival sont bretons, parce qu’on privilégie depuis toujours les fournisseurs locaux. Ça réduit les trajets, ça soutient l’économie du coin, et ça a du sens. Toute l’année, l’association reste ancrée en Centre-Bretagne : on travaille main dans la main avec les agriculteurs du cru, on collabore avec des ESAT et des IME pour favoriser l’emploi inclusif, et on fait vivre une économie sociale, solidaire et locale comme on l’aime.
Pionniers du gobelet consigné
En 2010, on faisait déjà partie des festivals pionniers à dire adieu aux gobelets jetables. Depuis, la consigne s’est étendue aux cornets de frites, aux caisses de stockage et à d’autres contenants malins. Pour éviter que tout le monde les collectionne et qu’on doive en produire chaque année, le visuel des gobelets n’a pas changé depuis 2014. On lave tout sur place, avec notre propre infrastructure, histoire de limiter les transports et d’en réutiliser un max. Résultat : en 2022, rien que les gobelets nous ont permis d’éviter 8 tonnes de déchets.
50% de déchets recyclés
Pendant les 4 jours du festival, plus de 700 personnes sont à pied d’œuvre pour assurer le nettoyage. Grâce au tri sélectif (bois, verre, carton, biodéchets, huile de friture, ferraille…), 50 % des déchets sont recyclés. Et une fois la fête finie, 87 hectares de terrains, campings, parkings et structures temporaires sont remis en état. Le meilleur déchet reste celui qu’on ne produit pas : en 2022, on a traité 173 tonnes, contre 200 en 2019. La tendance est bonne, on ne compte pas s’arrêter là !